Crises d’angoisse : quand le corps crie ce que l’esprit ne comprend pas
Un regard d’hypnothérapeute à Mâcon sur un trouble de plus en plus répandu
Un phénomène plus courant qu’on ne le croit
Depuis la rentrée, les demandes se multiplient. Adolescents, jeunes adultes, trentenaires, parents, retraités… les profils varient, mais le motif est souvent le même : des crises d’angoisse qui surviennent sans prévenir, sans raison apparente, et qui chamboulent la vie quotidienne.
Ce trouble, longtemps mal compris, n’épargne personne. Pas de profil type. Pas de cause unique. Il touche autant des personnes en souffrance évidente que d’autres qui, sur le papier, ont « tout pour être heureuses ».
“Je ne comprends pas. Tout va bien dans ma vie. Et pourtant, j’ai ces crises qui me prennent à la gorge.”
Cette phrase, je l’entends très souvent.
Mais pourquoi moi ?
C’est l’une des premières questions que posent celles et ceux qui viennent me voir. Et c’est aussi ce qui les fait souffrir : le manque de sens, l’impression d’être seul.e face à quelque chose d’invisible, d’irrationnel.
Parfois, il y a un déclencheur identifiable : un événement traumatisant, un stress intense, un choc émotionnel. Mais souvent, il n’y a rien de « logique ». Le cerveau a simplement accumulé trop de tension. Et le corps, lui, finit par lâcher l’alerte.
Vivre avec l’angoisse : une bataille quotidienne
Les crises d’angoisse ne préviennent pas. Elles peuvent survenir au travail, au volant, en pleine conversation… Certaines personnes vivent dans la peur permanente de la prochaine crise. D’autres développent des stratégies d’évitement, se coupent du monde, s’isolent.
Et quand les solutions proposées tournent autour des médicaments, beaucoup hésitent ou refusent. Par peur des effets secondaires. Par volonté de rester acteurs de leur processus de guérison. Par principe, aussi.
L’hypnose : une approche douce et efficace
Dans ce contexte, l’hypnose peut être une réponse pertinente. Pas magique. Pas instantanée. Mais profondément efficace pour reprendre le contrôle sur son système nerveux, désamorcer les mécanismes inconscients qui alimentent l’angoisse, et retrouver un sentiment de sécurité intérieure.
En état d’hypnose, on accède à cette part de soi qui ne passe pas par le mental. C’est un espace où le cerveau peut se réguler autrement. Où il peut désapprendre la panique et réapprendre la sécurité.
Ce que l’hypnose ne fait pas (et ce qu’elle permet)
Elle ne supprime pas les émotions. Elle ne « coupe » pas l’angoisse comme un médicament le ferait. Elle permet au contraire de l’écouter autrement, de la décoder, et souvent de la pacifier en profondeur.
Chaque séance est unique. Elle s’adapte à la personne, à son vécu, à son rythme. Parfois, une à deux séances suffisent pour réduire significativement les crises. D’autres fois, un accompagnement plus progressif est nécessaire.
Sortir de l’isolement, c’est déjà commencer à aller mieux
L’un des premiers bienfaits d’un accompagnement, c’est de briser la solitude. De comprendre qu’on n’est pas seul.e à vivre cela. Que ce n’est ni une faiblesse, ni une fatalité.
À mon cabinet, à Mâcon, j’accueille chaque personne avec cette idée simple mais essentielle : ce que vous vivez a du sens. Même si vous ne le comprenez pas encore.
Et surtout : vous pouvez aller mieux.
Envie d’en parler ?
Si ce que vous venez de lire vous parle, si vous ou votre ado traversez ce genre de situation, n’hésitez pas à me contacter. Il ne s’agit pas de s’engager dans un long suivi, mais parfois, poser des mots, expérimenter l’hypnose, c’est déjà un pas vers l’apaisement.
Informations pratiques
📍 Cabinet à Mâcon 35 rue de Lyon
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📞 Téléphone : 0682150905
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